À certains endroits, sans qu’il s’en rende compte, le voyageur piétine la Grande Bibliothèque disparue, enfouie quelque part sous ses pieds. Il la piétine, à moins que ce ne soit elle qui le porte… C’est ainsi qu’une lettre du carnet de voyage se connecte avec un lambeau de texte qui remonte à la surface, un lambeau que le vent emporte bientôt, et que le voyageur retrouve, suspendu aux branches d’un arbuste, accroché sous une pierre au bord du chemin…

                                                   
s.o.